Notes de mise à jour - Novembre 2016

Novembre a commencé avec notre spécial Halloween (avez-vous vérifié l’icône du navigateur ?), et a apporté plusieurs améliorations à la capacité de traitement du Proxy. Le proxy de traduction peut maintenant gérer le JavaScript simplifié dans d’autres JSON, nous avons reformulé le journal d’analyse joint aux courriels, le Remote Cache peut maintenant être configuré pour stocker également des images, et les méthodes DELETE peuvent être utilisées par le proxy (avec quelques mises en garde). Voir tous les détails après le saut !

 JavaScript dans JSONString

La capacité du proxy à traduire les variables JavaScript et les réponses JSON aux requêtes n’est pas nouvelle. Nous avons même eu la possibilité de traduire des JSON simplifiés. Cependant, le JavaScript simplifié n'a été rendu possible que par le déploiement récent du Flexible Content Pipeline qui nous permet d'étendre nos capacités de traitement presque sans limites.

Considérez la réponse suivante :

<meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=UTF-8">
<code id="highlighter">{ "plaintext" : "chaîne de test veuillez ignorer", "script" :"var test = \"autre chaîne de test veuillez ignorer\"; alert(test);" }</code>

et les chemins JSONP suivants :

<meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=UTF-8">
<code id="highlighter">json.plaintext json.script javascript json.script.test</code>

La première règle est assez évidente, elle marque la clé donnée comme traduisible. La deuxième et la troisième sont toutefois nouvelles. Tout comme l'ancien commutateur html, cela change le mode de traitement du Traducteur, permettant à l'utilisateur de continuer le chemin sur la ligne suivante pour sélectionner les variables déclarées dans le code JS-envoyé (dans ce cas, la variable à afficher dans une fenêtre contextuelle).

Cache et images distants

De plus, rien de nouveau n’est la capacité du Proxy à stocker les données brutes du site source et à les réutiliser comme base de traduction. Cette fonctionnalité est appelée Cache source. Lors de la création du cache source, il était limité uniquement aux fichiers HTML, CSS et JavaScript, les données d'image étant totalement ignorées en raison de contraintes de taille. Ce qui a conduit à des scénarios malheureux potentiels car les images étaient encore sujettes à modification ou suppression sur le serveur source.

Plus maintenant. Nous avons mis en place une méthode pour mettre en cache les images référencées sur les pages visitées par l’analyseur de liens et les réutiliser lors de leur utilisation. Bien sûr, cela reste soumis à la même limitation de taille que les autres ressources que nous pouvons stocker. En outre, l'option est toujours dans sa phase BETA publique - si vous souhaitez qu'elle soit activée sur un projet, veuillez contacter notre canal d'assistance pour que l'option soit activée.

Méthode HTTP DELETE

La spécification HTTP déclare un certain nombre de « méthodes » ou de « verbes » qui peuvent être utilisés pour désigner la nature d'une requête donnée au serveur, et sont couramment utilisés dans les portails orientés client. Un tel procédé est DELETE, utilisé pour signaler une demande de suppression d'une ressource. Nous avons récemment implémenté notre support pour cette méthode, permettant le proxy de portails orientés client (ou au moins, un plus large éventail de sites Web) tout en préservant la fonctionnalité.

Il convient toutefois de mentionner une mise en garde importante : en raison des limitations de l'infrastructure sous-jacente de Google AppEngine, la transmission de la charge utile de la demande sur les demandes DELETE n'est pas prise en charge ! Cela signifie que pendant la transmission de la requête, sa charge utile sera supprimée, ce qui peut conduire à un comportement erroné ou indéfini sur le serveur distant.